Avant de commencer, sachez que je ne parlerai pas ici des pratiques douteuses de certains de nos concurrents, ce n’est pas le sujet du jour 😉
Dernièrement nous avons été contactés par de faux traducteurs, qui nous réclamaient de l’argent pour des traductions soi-disant réalisées à la demande d’une de nos chefs de projets (qui ne travaille plus chez TradOnline aujourd’hui).
L’idée est assez simple : l’arnaqueur crée une fausse adresse gmail avec le nom de notre chef de projet (à une lettre près !) puis il envoie sa facture sur notre adresse contact en disant que la demande émane de cette personne.
On est tout de suite sceptique, car il dit avoir traduit dans une langue qui ne nous est jamais demandée… mais soit, vérifions tout de même.
Pour nous confirmer que la demande de traduction émane bien de TradOnline, l’arnaqueur nous envoie des screenshots de sa boîte de réception, avec des emails provenant de cette fausse adresse email qu’il a créée au nom de notre chef de projet. Vous suivez toujours ?
Bref, l’illusion n’est pas parfaite et de toute façon ce fonctionnement ne correspond pas à notre façon de travailler, puisque toute commande de traduction passe par notre logiciel interne qui crée un numéro de projet sur mesure. Or, ce numéro est transmis au traducteur à la commande. Donc pas de numéro = pas de projet = pas de besoin en traduction !
Tout ça pour dire, chers arnaqueurs : nos processus sont suffisamment verrouillés pour qu’une tentative de cet ordre ne fonctionne pas.
Plus de peur que de mal en définitive, mais il n’est jamais agréable de voir à quel point n’importe quelle personne mal intentionnée peut se faire passer pour n’importe qui sur le Web. Le débat est ouvert…